Dieses wohl bekannteste Zitat hat in Wahrheit der Franzose Ferdinand Ferber Lilienthal in den Mund gelegt und das 1908 in seinem Buch L’Aviation, ses débuts, son développement ausführlich dargestellt. (Deutsche Übersetzung: Die Kunst zu Fliegen (1910)).
« Concevoir une machine volante n'est rien; « La construire est peu; « L'essayer est tout.
J'avais mis ces quelques mots en tête de mon premier article de la Revue d'Artillerie, parce qu'ils résumaient dans ma pensée la seule méthode qui devait conduire au succès. M. le commandant Ferrus, avec sagesse, me conseilla de ne pas signer, moi inconnu, ces lignes, mais de les attribuer à Lilienthal, dont en somme ils représentaient synthétiquément l'œuvre. Ces lignes ont eu le plus grand succès et ont été reproduites partout. En Allemagne, on a cherché dans les livres de Lilienlhal et naturellement on n'a rien trouvé, Alors on a carrément traduit. Le major Mœdebeck a traduit dans les Aeronautische Mitteilungen, en 1903: Einen Drachenflieger zu erfinden ist kein Kunststück , einen zu bauen ist bereits schwieriger, aber zu fliegen, das ist alles. Le Dr. de Rosenberg a traduit dans la Neue Freie Presse, en 1906: Eine Flugmaschine erfinden heisst gar nichts, sie bauen nicht viel, sie versuchen ist alles. C'est cette dernière traduction que je préfère. p. 1 archive.org http://archive.org/stream/laviationsesdeb00ferbgoog#page/n17/mode/2up
Fälschlich zugeschrieben