„Donnerkeil“ des Mirabeau nach Heinrich von Kleist: Ueber die allmähliche Verfertigung der Gedanken beim Reden, de.wikisource https://de.wikisource.org/wiki/Ueber_die_allm%C3%A4hliche_Verfertigung_der_Gedanken_beim_Reden
Original: « Oui, Monsieur, nous avons entendu les intentions qu’on a suggérées au Roy ; et vous qui ne sauriez être son organe auprès des États-Généraux, vous qui n’avez ici ni place ni voix, ni droit de parler, vous n’êtes pas fait pour nous rappeler son discours. Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je déclare que si l'on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez demander des ordres pour employer la force ; car nous ne quitterons nos places que par la puissance des baïonnettes. » - zum königlichen Zeremonienmeister Henri-Évrard de Dreux-Brézé. Séance royale du 23 juin 1789, dans la salle des Menus-Plaisirs de Versailles. Orateurs de la Révolution française, I, Mirabeau, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléïade, 1989, discours « Réponse à Dreux-Brézé », p. 644