Verteidigungsrede vor dem Schwurgericht am 12. Januar 1832, übersetzt von Dagmar Dilcher, aus: Auguste Blanqui, Instruktionen für den Aufstand, herausgegeben von Frank Deppe, Frankfurt am Main 1968
"Messieurs les jurés,
Je suis accusé d'avoir dit à trente millions de Français, prolétaires comme moi, qu'ils avaient le droit de vivre. Si cela est un crime, il me semble du moins que je ne devrais en répondre qu'à des hommes qui ne fussent point juges et parties dans la question." - Défense du citoyen Blanqui. Procès des quinze. Paris 1832. p. 77 books.google http://books.google.de/books?id=_PxCAAAAcAAJ&pg=PA77