Der gegenwärtige Zustand und die Zukunft der mathematischen Physik, in: Der Wert der Wissenschaft, B.G.Teubner, Leipzig 1906, S. 149 f. De tous ces résultats, s’ils se confirmaient, sortirait une mécanique entièrement nouvelle qui serait surtout caractérisée par ce fait qu’aucune vitesse ne pourrait dépasser celle de la lumière [...] pas plus qu’aucune température ne peut tomber au-dessous du zéro absolu. Pour un observateur, entraîné lui-même dans une translation dont il ne se doute pas, aucune vitesse apparente ne pourrait non plus dépasser celle de la lumière ; et ce serait là une contradiction, si l’on ne se rappelait que cet observateur ne se servirait pas des mêmes horloges qu’un observateur fixe, mais bien d’horloges marquant le « temps local » . - :fr:s:La Valeur de la Science/Chapitre VIII. La crise actuelle de la physique mathématique, Flammarion, 1911, p. 197; Erstauflage 1905, zuvor in Bulletin des sciences mathématiques 28, Nr. 2, 1904
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Relativitätstheorie
Henri Poincaré: Gleichen
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Der gegenwärtige Zustand und die Zukunft der mathematischen Physik, in: Der Wert der Wissenschaft, B.G.Teubner, Leipzig 1906, S. 134 Le principe de la relativité, d’après lequel les lois des phénomènes physiques doivent être les mêmes, soit pour un observateur fixe, soit pour un observateur entraîné dans un mouvement de translation uniforme ; de sorte que nous n’avons et ne pouvons avoir aucun moyen de discerner si nous sommes, oui ou non, emportés dans un pareil mouvement ; - :fr:s:La Valeur de la Science/Chapitre VII. L’histoire de la physique mathématique, Flammarion, 1911, p. 176; Erstauflage 1905, zuvor in Bulletin des sciences mathématiques 28, Nr. 2, 1904
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Relativitätstheorie
Wissenschaft und Methode, Hrsg. F. und L. Lindemann, B. G. Teubner, Leipzig 1914, S. 23 f.,
Je ne sais si je n’ai déjà dit quelque part que la Mathématique est l’art de donner le même nom à des choses différentes. Il convient que ces choses, différentes par la matière, soient semblables par la forme, qu’elles puissent, pour ainsi dire, se couler dans le même moule. Quand le langage a été bien choisi, on est tout étonné de voir que toutes les démonstrations, faites pour un objet connu, s’appliquent immédiatement à beaucoup d’objets nouveaux ; on n’a rien à y changer, pas même les mots, puisque les noms sont devenus les mêmes. - :fr:s:Science et méthode/Livre premier, § II